Môme bercée dans le chaos qui s’est imprégné de chacune de tes veines battantes sous ta peau blanche. Chaos désireux de t’inculquer des valeurs imposées par tes géniteurs, se nourrissant des cris d’autrui. Poupée à l’apparence fragile et naïve, tu connais pourtant la rage du monde, baignée dedans depuis ta plus tendre enfance où l’on essaie de te faire suivre ce chemin épineux que tu ne désires pourtant pas. Mais, il vaut quoi ton avis Nahoko ? Tu as beau ne pas cautionner les actes causés par tes pairs tu restes néanmoins une Okada, vipère n’hésitant pas à adoucir tes apparences avant de planter tes crocs d’un venin superficiel dans les affamés qui posent trop de question au sujet de ta famille.
Pourtant trop douce pour ce monde se noyant dans l’obscurité des ombres dansantes autour de ton corps tenant à peine debout. T’es la rose blanche née parmi les rouges, celles dont l’absence de couleur rend fou, une absence de couleur que l’on veut peindre pour te définir. ...suite...
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As you wishLa liste est non-exhaustive. Je suis intéressé par toute sorte de lien : ami, ennemi, amant, animal de compagnie... Venez me faire de propositions !
god save the prom queen teenage daydream just another dressed up heartbreak god save the prom queen only sixteen turned her tears to diamonds in her crown
L’Aphrodite aux rêves brisés par l’influence de son patronyme possédant un genou au sol, elle joue la Nyx, elle joue pour dissimuler son battant face à celui ayant réussi où elle a lamentablement échoué. Deux mondes différents, destinés différentes, provoquant en elle un sentiment d’admiration qu’elle ne pourrait définir. Tentatrice, séductrice envers celui qui ne semble rien ressentir parce que c’est ce qui lui plaît. Joueuse de poker aux multiples AS dans sa manche, elle abat ses cartes avec un sourire provocateur. Observant d’un œil distant, touchant de ses pulpes pour posséder l’impossible. Il est celui qui l’empêche de sombrer les deux pieds dans l’océan abandant de requin prêt à l’attirer dans les bas-fonds de son destin. T’accrochant à lui comme une sangsue, possessive, joueuse, tu lui fais subir tes caprices. Bien trop tactile, bien trop joueuse, tu le considère comme ton nouveau jouet alors que c’est toi qui es éprise Nahoko, encore faut-il se l’avouer.
Dabi
i can feel the flames on my skin
i never trust a narcissist, but they love me so I play 'em like a violin and I make it look oh-so-easy 'Cause for every lie I tell them, they tell me three this is how the world works now all he thinks about is me
Tentation du diable à la peau incinérer souhaitant te faire valser à ses côtés sur la piste brûlante après avoir passé un pacte avec tes géniteurs. Il te veut près de lui, posséder ton alter qui pourrait faire pencher la balance en sa faveur sur ses plans. Pourtant t’es pas le genre de personne que l’on a en claquant des doigts, véritable jeu du chat et de la souris s’installant entre vos deux âmes aussi anéanties l’une que l’autre. Qui gagnera la partie, mais surtout à quel prix ?
Sei Itami
cross my heart, hope to die (ex)
to my lover, I’d never lie he said “be true”, I swear I’ll try in the end, it’s him and I he’s out his head, I’m out my mind we got that love, the crazy kind i am his, and he is mine in the end, it’s him and I
“Ici nous sommes deux, seulement deux contre le monde, contre le hasard de l’univers, deux l’un contre l’autre luttant en vain contre l’imprévisible. Ne laisse pas tes mains s’emballer, avant, j’ai un jeu à te proposer. La première règle est de ne pas me lâcher, de ne pas me laisser tomber dans un vide sans fin, de ne pas quitter la partie. La seconde c’est que tu te dois de faire ce qu’il est dit de faire, tu ne peux rien refuser. Tu vois cette pièce ? Elle est minuscule et pourtant elle sait beaucoup plus de chose que nous. C’est terrifiant dit comme ça mais c’est une réalité. La vie est un hasard sans fin, tu ne sais pas ce qu’il va se passer maintenant, dans cinq secondes ou bien même demain. Cette pièce est la vie, la face sur laquelle elle tombera est le hasard, on commencera doucement. Je piocherais dans ce tas une seule carte à chaque tour, n’importe laquelle et je lirais ce qui nous ai imposé. Est-ce que tu es prêt ? Bien. Pile, dis-moi je t’aime, face, c’est moi qui le dirais. Ne t’emporte pas, tout commence avec du blanc. Pile, pousse-moi légèrement, face pince moi. Il faut que tu saches que tout peut faire mal, nous ne sommes jamais à l’abris, carte suivante : pile, embrasse-moi, face, frappe-moi. Pile, tu auras peur de me perdre, face, tu me jetteras dehors dès la première occasion. Pile, passe-moi la bague au doigt, face je pleurerais ton adultère. Tu as de la chance jusque-là mais ne souris pas si vite, attends la fin du jeu, trop d’espoir peut parfois te faire perdre. Pile, tu imagineras ton futur, face, tu vivras de ton passé. Pile, ma présence t’aidera, face, la solitude te rongera. Pile, tu mourras tranquillement, face, tu deviendras fou de cette corde qui pend dans ton garage. Ton cœur a accéléré à chaque fois que j’ai posé une main sur ce tas de carte mais regarde, il n’en reste qu’une seule. Je sais quelle peut faire peur mais tu te répètes que si tu t’en sors ce coup-ci, ce foutu jeu cessera. Certains ont quittés la partie alors qu’il débutait avec merveille, mais toi tu es là. Pile, tu prendras ma main et nous sortirons de cette pièce avec le sourire. Face, tu me lâcheras.” Tu m’as lâché Sei.
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